CABINET D’ ENERGETIQUE TRADITIONNELLE CHINOISE

BENJAMIN PIOT

DIPLOME DNMTC ET AGREE UFPMTC – FNMTC – CCFMTC


Les chinois envisagent la santé comme une circulation harmonieuse de l’Energie (QI) vitale dans les méridiens et les vaisseaux, circulation dont la régularité est animée par deux forces complémentaires, le YIN et le YANG. Une compréhension des phénomènes énergétiques et de la santé, en considérant l‘homme comme un microcosme anime d’Energie vitale (QI) et soumis aux forces agissantes de l’univers.

Lorsqu’un déséquilibre se crée la souffrance apparait.

Notre état de santé dépend de la qualité, de la quantité et de l’équilibre de nos énergies. Les influences saisonnières et climatiques, l’air que nous respirons les aliments que nous ingérons et nos émotions sont a l’origine des dérèglements de cette Energie, il en découle découlent nombre de maux.


ROQUEFORT LES PINS – OPIO – VALBONNE – CAGNES SUR MER – BAR SUR LOUP – BIOT – ANTIBES – MOUGINS


TROUBLES MOTEURS

  • Douleurs à la nuque
  • les épaules
  • le dos
  • les lombaires
  • les jambes
  • sciatique
  • névralgies intercostales
  • épicondylite
  • cervicalgies
  • Périarthrite de l’épaule
  • blessures musculaires
  • blessures ligamentaires
  • blessures des cartilages

SYSTEME DIGESTIF

  • Constipation
  • diarrhée chronique 

TROUBLES DE LA SANTE

  • Fatigue
  • dépression
  • insomnie
  • migraines
  • asthme
  • insuffisance rénale
  • jambes lourdes
  • rétention d’eau
  • syndrome ménopause
  • stress, irritabilité
  • bouffée de chaleur
  • transpiration
  • Hémorroïdes
  • eczéma chronique
  • stress, anxiété
  • perdre du poids au naturel

Mais Pourquoi parle t’on d’énergétique traditionnelle chinoise au lieu de médecine chinoise ?

En france, l’arrêt du 15 mai 2007 par la Cour d’appel de Metz a fait interdiction d’utiliser le terme de médecine au motif que ce terme est protégé par les dispositions du Code de la santé publique. Par conséquent les termes de médecine chinoise ou médecin ne peuvent être employés.

Un peu d’ histoire:

La médecine traditionnelle chinoise (ou MTC) est l’ensemble des théories et pratiques de santé au cours de l’histoire du monde chinois (aire d’influence de la civilisation chinoise). Au sens large, cette médecine inclut les traditions orales, folkloriques, magiques ou religieuses des différentes ethnies et communautés qui constituent le monde chinois.

Dans un sens plus classique, la médecine traditionnelle chinoise est celle qui se réfère à un imposant corpus de textes (tradition écrite), dont les premiers sont datés vers le Ve siècle av. J.-C. environ. La médecine chinoise fait alors partie des trois grandes médecines traditionnelles savantes avec celle du monde méditerranéen (galénisme) et celle de l’Inde (ayurveda).

Au cours du XXe siècle, la médecine traditionnelle chinoise classique est celle qui est perçue, et plus ou moins reconnue, comme un système alternatif ou complémentaire à la médecine moderne (en Chine populaire, selon les pays y compris occidentaux, selon l’OMS…). Elle entre alors dans le cadre des médecines non conventionnelles.

Cette médecine se compose de plusieurs disciplines dont la pharmacopée, le massage et les exercices énergétiques (qi gongtaiji quankungfu…), la diététique, l’acupuncture et la moxibustion.

À côté de l’histoire de la médecine chinoise, de nombreuses thérapies sont proposées aujourd’hui sous l’étiquette de « médecine traditionnelle chinoise », inspirées plus ou moins librement d’éléments de cette tradition sans remise à jour pour des raisons essentiellement folkloriques ou commerciales1, et constituent une pseudo-science

Il n’existe pas de consensus sur la définition de ce qui constitue une médecine, ni une médecine traditionnelle, ni une médecine traditionnelle chinoise. Selon l’OMS :

« La médecine traditionnelle est la somme totale des connaissances, savoir-faire et pratiques, basée sur les théories, croyances et expériences appartenant à différentes cultures, qu’elles soient explicables ou pas, utilisées aussi bien pour le maintien de la santé que pour la prévention, le diagnostic, l’amélioration ou le traitement des maladies physiques et mentales »4.

Une médecine traditionnelle pourrait être une médecine historique pratiquant son propre passé, alors que, de ce point de vue, la médecine scientifique ou biomédecine pratique son présent en se remettant en cause. Une médecine traditionnelle serait un «système culturel», liée à une communauté particulière, alors que la biomédecine est universelle et transculturelle.

En première approche, on distingue entre les pratiques et systèmes culturels de santé basés sur la seule tradition orale (médecine traditionnelle dite populaire) et ceux basés sur des textes (médecine traditionnelle savante). Historiquement, il existe trois grandes traditions médicales savantes appartenant à l’Oikoumenê (ensemble du genre humain) des Grecs de l’Antiquité, et qui regroupe les civilisations de l’Afrique et de l’Eurasie : autour de la Méditerranée (principalement représentée par le Galénisme), en Inde et en Asie du Sud (Ayurveda), et dans le monde chinois, Asie centrale et du sud-est (médecine traditionnelle chinoise)5.

Ces trois grandes traditions sont relativement indépendantes, avec cependant quelques interconnexions. La médecine arabe appartient au galénisme, mais du fait de l’extension de l’Islam, elle peut faire partie des systèmes médicaux asiatiques sous le terme de médecine Yunâni. De même l’extension du bouddhisme de l’Inde à la Chine, a conduit à des échanges entre médecine ayurvédique et chinoise, caractéristiques de la médecine tibétaine5.

Ces trois grandes traditions médicales ont évolué de manière similaire, à peu près synchrone. Entre le Ve siècle av. J.-C. et le Ve siècle apr. J.-C., ces soignants deviennent des « professionnels » formés sur la base de textes rationnels respectés faisant autorité. Ils se distinguent des sorciers et devins, rebouteux et soignants occasionnels empiriques (médecine domestique). Ils souhaitent obtenir un statut social plus élevé, justifié par un code éthique précisant leur comportement et responsabilité. Cette distinction qui s’exprime dans les textes, n’est pas forcément conforme à la réalité. En effet, la médecine « savante » n’a guère été dominante dans les pratiques réelles de santé des sociétés traditionnelles (historiques)

La médecine chinoise, ou « médecine dans l’espace chinois » se présente sous deux formes, dont la première est la médecine populaire basée sur des recettes familiales de communautés rurales ainsi que des pratiques magiques et religieuses, remontant au chamanisme, ou à base de bouddhisme et de taoïsme6.

La médecine traditionnelle chinoise proprement dite serait « la médecine chinoise classique », celle qui se base sur un important corpus littéraire et qui s’exprime par des médecins-fonctionnaires de l’administration chinoise (« mandarins »)6. Celle-ci a connu une importante évolution durant son histoire, tout en conservant certains principes de base issus de l’Antiquité ; de même, elle a été parcourue par des courants contradictoires, et les différentes approches qui l’animent ont toutes connu des époques de gloire comme de disgrâce7,8.

Il existe plusieurs approches occidentales de la médecine chinoise. Au début du XXe siècle, à l’apogée des empires coloniaux, se posait la question de la « stagnation » des mondes musulman, hindou, et chinois, ce qui paraissait une évidence par rapport à la révolution industrielle et scientifique de l’Occident, ce qui signait l’infériorité de ces civilisations et de leurs médecines9.

En réaction, au cours du XXe siècle, des auteurs, tels que Joseph Needham, ont voulu insister au contraire sur les apports des sciences chinoises, pour montrer en quoi elles ont pu influencer ou préparer, être les précurseurs d’une science universelle (« inventions chinoises »). Dans le domaine médical, plusieurs auteurs occidentaux ont alors sélectionné dans les textes chinois, tout ce qui était susceptible de préfigurer des données ou un concept médical moderne9.

Dans le domaine sociétal, deuxième moitié du XXe siècle, en Occident comme en Chine populaire, la médecine chinoise a été présentée comme un système unique et cohérent, susceptible d’offrir une alternative ou des perspectives nouvelles à la médecine contemporaine. La médecine traditionnelle chinoise se situe alors dans la problématique des médecines non conventionnelles ou alternatives et complémentaires. Elle est étudiée à des fins pratiques, ce en quoi elle peut être utile en prévention ou en thérapeutique10.

À la fin du XXe siècle, un courant d’anthropologie historique insiste sur la notion de système médical, plutôt que de médecine, en envisageant les idées et pratiques de santé comme des « systèmes culturels », et non pas comme des vérités ou erreurs biomédicales. Dans ce cadre, un auteur comme Paul Unschuld (de), considère qu’en près de 3 500 années d’histoire, il n’y a pas une, mais des médecines chinoises en Chine7.

Selon Unschuld, la distinction médecine chinoise populaire/savante n’est guère pertinente. La médecine chinoise est un amalgame de systèmes médicaux appartenant à des périodes différentes : comme la médecine des oracles, la médecine des démons, la médecine de pharmacopée, la médecine des correspondances… jusqu’à la médecine occidentale moderne7.

Dans cette dernière approche, ce qu’on appelle médecine traditionnelle chinoise (savante ou classique) ne serait qu’un système médical particulier, souvent minoritaire par rapport à d’autres systèmes chinois (folkloriques, religieux, magiques…), tous susceptibles de fournir un recours pour les populations chinoises au cours de l’histoire

(définition source wikipedia)